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La collaboration entre l’OMS et l’HISP UiO sur DHIS2 s’étend aux données sur le cancer

Le cancer devient le nouveau domaine d’intervention du partenariat de longue date sur les systèmes d’information sanitaire nationaux entre l’Organisation mondiale de la santé et le Centre HISP de l’Université d’Oslo, qui vise à renforcer le suivi et l’établissement de rapports au niveau national.

11 Sep 2025 Information

Les données sur le cancer sont désormais intégrées dans les systèmes nationaux d’information sanitaire par le biais de DHIS2, ce qui marque une nouvelle étape dans la collaboration entre l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) et le Centre HISP de l’université d’Oslo (HISP UiO). Grâce à ce partenariat, l’OMS et l’HISP UiO ont aidé les pays à renforcer les systèmes d’information sanitaire et à assurer le suivi d’un large éventail de programmes de santé. Avec l’arrivée du cancer comme nouveau domaine pour les rapports de routine des établissements, les pays seront en mesure de suivre les indicateurs qui favorisent une meilleure gestion de la prévention, du diagnostic, du traitement et de la prise en charge du cancer.

Nouveaux outils pour la communication des données sur le cancer

Le cancer est un domaine de travail de plus en plus important pour l’OMS, qui se concentre sur le cancer du sein, le cancer du col de l’utérus, le cancer de l’enfant et le cancer du poumon. L’intégration des indicateurs de cancer dans les systèmes de rapports de routine du DHIS2 fournit aux pays de nouveaux outils pour suivre les sources et l’utilisation des médicaments, mesurer la portée des traitements et contrôler les résultats des programmes.

Les données relatives aux médicaments et aux traitements contre le cancer chez l’enfant en sont un exemple. En 2025, en tant que pays participant à la Plateforme mondiale pour l’accès aux médicaments contre le cancer de l’enfant (Plateforme mondiale), l’Équateur, la Mongolie, le Népal et la Zambie ont commencé à rendre compte des indicateurs clés au niveau du pays et de l’établissement par l’intermédiaire du DHIS2, et les données de l’Ouzbékistan sont prises en compte dans le système par le biais d’autres mécanismes de notification. Ces indicateurs sont les suivants

  • Nombre d’enfants recevant des médicaments fournis par la plateforme
  • Taux de rupture de stock et niveaux de consommation de médicaments
  • Mécanismes de gouvernance pour la surveillance du programme

Le rapport suit un ensemble de lignes directrices complètes en matière de suivi et de rapport pour les pays qui reçoivent activement des médicaments anticancéreux. Ce système d’information renforce les capacités nationales du DHIS2 déjà en place, ce qui permet aux pays d’intégrer la notification des cancers dans les flux d’informations sanitaires existants. Les équipes de pays peuvent valider et visualiser leurs données, tandis que l’OMS et ses partenaires utilisent les informations pour éclairer la prise de décision et guider la mise-en-œvre des programmes.

Mme Ellen Thom, représentante adjointe de l’OMS au Pakistan, offre un cadeau à un enfant traité pour un cancer à l’hôpital universitaire Akbar Niazi à Islamabad, le 13 février 2025. (Photo de l’OMS)

Initiative inédite lancée en 2021, la Plateforme mondiale vise à fournir un approvisionnement ininterrompu en médicaments anticancéreux de qualité garantie à environ 120 000 enfants dans les pays à revenu faible et intermédiaire (PRFI) au cours des cinq à sept prochaines années. L’initiative complète l’initiative mondiale pour le cancer de l’enfant et partage l’objectif d’augmenter le taux de survie des enfants atteints de cancer dans le monde à au moins 60 % d’ici 2030, tout en réduisant leurs souffrances et en améliorant leur qualité de vie.

La plateforme mondiale fournit un soutien de bout en bout, en consolidant la demande mondiale pour façonner le marché, en aidant les pays à sélectionner les médicaments, en élaborant des normes de traitement et en mettant en place des systèmes d’information pour garantir la fourniture de soins efficaces. À l’heure actuelle, la plate-forme mondiale travaille avec 12 pays participants : Équateur, El Salvador, Ghana, Jordanie, Moldavie, Mongolie, Népal, Pakistan, Sénégal, Sri Lanka, Ouzbékistan et Zambie. Les pays ont également la possibilité de se connecter à d’autres systèmes d’information sur le cancer, et d’harmoniser et d’améliorer la saisie et l’utilisation des données afin d’améliorer la gestion du cancer.

La plateforme mondiale travaille actuellement avec 12 pays participants. (Image de l’OMS)

Renforcement des capacités nationales

En tant que Centre collaborateur de l’OMS pour l’innovation et la mise-en-œvre de la recherche pour le renforcement des systèmes information sanitaire depuis 2016, HISP UiO joue un rôle central dans le soutien des travaux sur le renforcement des systèmes information sanitaire. La plateforme open-source du DHIS2 soutient les mises-en-œvre nationales dans plus de 75 pays.

La vision est claire : les pays devraient être équipés des systèmes dont ils ont besoin pour gérer efficacement les programmes, en s’appuyant sur des données opportunes et de qualité. L’intégration des données de suivi et d’évaluation du traitement du cancer chez l’enfant dans le DHIS2 montre comment des collaborations mondiales établies peuvent évoluer pour relever de nouveaux défis, tout en continuant à renforcer les capacités dans les PRFM.

L’adoption du DHIS2 par la plateforme mondiale témoigne de la croissance continue du partenariat OMS-HISP et de son alignement sur la stratégie plus large de l’OMS en matière de cancer. Dans la perspective d’une extension de la plateforme mondiale, il existe une dynamique et un besoin évident de soutenir les systèmes de données pour les médicaments et les traitements contre les cancers de l’enfant.

 

Avertissement : Ce document de communication est publié par l’Université d’Oslo, qui est un centre collaborateur de l’OMS pour l’innovation et la mise-en-œvre de la recherche sur le renforcement des systèmes information sanitaire, et n’est pas une publication de l’OMS. L’Université d’Oslo est responsable des opinions exprimées dans cette publication, qui ne représentent pas nécessairement les décisions ou les politiques de l’OMS.

Pour en savoir plus: https://cdn.who.int/media/docs/default-source/ncds/mnd/cancer-programme/gpaccm-closing-the-gaps-draft.pdf