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Damas L’atelier sur les besoins de la Syrie en matière de système de santé intégré met en évidence le rôle du DHIS2
Le ministre syrien de la santé et l’ambassadeur de Norvège en Syrie ont souligné l’importance d’étendre la mise-en-œvre du DHIS2 pour renforcer l’infrastructure nationale de santé.
Le ministère syrien de la santé et les ambassades royales de Norvège en Syrie et au Liban ont hébergé un atelier de haut niveau à Damas le 8 avril afin d’aborder les défis et les besoins du secteur de la santé en Syrie. Après plus d’une décennie de guerre civile, la Syrie est désormais réunie sous un seul gouvernement, ce qui marque un tournant dans les efforts déployés par le pays pour reconstruire son système de santé. L’événement a rassemblé un large groupe d’acteurs concernés, dont des fonctionnaires, des représentants d’ONG et d’agences des Nations unies, ainsi que des experts techniques, pour discuter de questions clés, notamment de l’importance de l’extension et de l’élargissement de la mise-en-œvre du DHIS2 pour le renforcement de l’infrastructure sanitaire nationale.
Son Excellence le Dr Musaab Alali, ministre syrien de la santé, et l’ambassadeur Hilde Haraldstad, ambassadeur de Norvège au Liban et chargé d’affaires en Syrie, ont officiellement ouvert l’événement, qui a également donné lieu à des discussions avec des hauts fonctionnaires, dont le Dr Zuhair Al Karrat, directeur général du ministère de la santé.
L’un des thèmes centraux de l’atelier était le rôle stratégique des systèmes de santé numériques – en particulier le DHIS2 – en tant que fondement du renforcement de la gouvernance des systèmes de santé, de l’amélioration de l’utilisation des données et du soutien à une distribution plus équitable et plus efficace des ressources. Dans son discours, le ministre Alali a souligné la valeur du DHIS2 dans le nord-ouest de la Syrie en tant qu’outil clé pour une prise de décision fondée sur des données probantes. Il a décrit le système comme une nécessité stratégique et a réaffirmé l’intérêt du ministère à étendre son utilisation.
Des représentants de HISP MENA (Moyen-Orient et Afrique du Nord), un partenaire régional de mise en œuvre du DHIS2 et de renforcement des capacités basé en Jordanie (et membre du réseau mondial HISP), ont soutenu cet atelier et ont partagé des idées sur le travail du groupe dans le nord-ouest de la Syrie et à Damas, ainsi que de nouveaux efforts pour unifier l’agenda du DHIS2 dans One Syria. HISP MENA a travaillé en étroite collaboration avec des partenaires en Syrie et dans la région au sens large pour soutenir la transformation numérique de la santé à travers la conception du système DHIS2, la localisation et la formation. Leur équipe était présente à Damas pour apporter une contribution technique et poursuivre les discussions sur l’extension du DHIS2 dans le pays.

Le ministère de la santé a souligné l’importance de cet atelier et la nécessité d’étendre la mise-en-œvre de DHIS2 dans le pays. L’ambassade de Norvège s’est fait l’écho de l’importance de ce travail, en écrivant que les systèmes d’information sanitaire sont une « pierre angulaire du renforcement des systèmes de santé » et que la Norvège est fière de représenter le site Centre HISP de l’université d’Oslo et le logiciel DHIS2, qui est un bien public numérique couvrant plus de 3 milliards de personnes dans plus de 70 pays, y compris la Syrie.
Le site Centre HISP de l’Université d’Oslo est honoré de voir la plateforme reconnue dans ce contexte comme un bien public numérique fiable et évolutif, et nous apprécions le travail critique de HISP MENA pour soutenir la mise-en-œvre locale. Cet événement marque une étape importante dans les efforts déployés par la Syrie pour renforcer la gouvernance nationale en matière de santé et la planification de la reprise grâce à des solutions numériques ouvertes et interopérables.